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JCC 2023

JCC #2k24

Galerie Photos

La première salle des JCC, le Palmarium, Avenue de Carthage à Tunis, surnommée 'la plus grande salle d'Afrique du Nord'.<br />(Aujourd'hui disparue et remplacée par un centre commercial Tuniso-Koeëtien)
Autour de Tahar Cheriaa, Président de la fédération Tunisienne des ciné-clubs FTCC, son bureau directeur qui formera la première équipe des JCC: Moncef Ben Ameur, Moncef Charfeddine, Tijani Zalila et Nouri Zanzouri
1ère session , JCC 1966. Arrivée à Tunis de Sembène Ousmane avec les acteurs de son film la Noire de ...Thérèse Mbissine Diop et Nar Sen
JCC 1968. Le Président de la république Habib Bourguiba reçoit les invités du Festival. Ici le réalisateur Koweitien Khaled Essedik ...
...Et les participants tunisiens au festival : un jeune critique cinématographique, suivi par le cinéaste Omar Khlifi et la grande Hassiba Rochdi, pionnière de La chonson et du cinéma en Tunisie et en Egypte.
Le jury des JCC 1968 : Paulo Emilio Salles Gomes, Fondateur de la cinémathèque brésilienne , Sembène Ousmane , le critique et écrivain français Jean-Louis Bory, Tahar Cheriaa, et le Cinéaste tunisien Noureddine Mechri.
Les JCC, Festival sans censure, accueillent en 1968, la seule et unique projection exceptionnelle du film Renaissance sur l'accession de la Tunisie à l'indépendance, film commandé par <br />Tahar Cheriaa au grand documentariste Mario Ruspoli mais interdit depuis en Tunisie, pour non-conformité avec la vision officielle.
JCC 1970. Youssef Chahine, son actrice Souad Hosni et son collègue Salah Abou Seif, dans les coulisses du Palmarium, avant l'annonce du Tanit d'Or attribué à son film Le Choix et à l'ensemble de son œuvre précédente.
Une pure création des JCC, la cinéphilie de masse, avec des entrées à prix symbolique, pour faciliter la découverte par le grand public de films sans publicité et inconnus d'eux auparavant.
1970 - Tahar Cheriaa et Sembène Ousmane président une réunion préparatoire à la création de la Fédération panafricaine des cinéastes FEPACI.
Les débats autour des films, l'essence même des JCC : au micro le journaliste progressiste français Guy Hennebelle, critique du quotidien algérien Al Moudjahid. Au premier plan le cinéaste tunisien Sadok ben Aîcha (Mokhtar) <br />et les cinéastes marocains Mohamed Tazi et Ahmed Mesnaoui (Vaincre pour vivre).
Tahar Cheriaa, promoteur inlassable de l'esprit ciné-club, continuera toujours à venir assister aux débats des JCC : ici en 1972 avec le cinéaste gabonais Philippe Mory pour son film Les tam-tams se sont tus.
Un accomplissement des JCC, nouer et maintenir le dialogue entre les cultures d'Afrique subsaharienne, et celles du monde arabe. Taher Cheriaa remettant le Tanit d'or remporté ex aequo par Sarah Maldoror pour Sambizanga <br />et Tawfik Saleh pour Les Dupes en 1972.
JCC 1974.Le Festival passe au militantisme sur le terrain: 1er Colloque sur la production et la distribution de films dans les pays africains et arabes, où les participants attaquent de front le tout puissant Jean-Charles Edeline, PDG de l'UGC,<br />qui contrôle les salles de cinéma de l'Afrique francophone.De dr.à g : Les cinéastes Moustafa Alassane (Niger) Hassan Daldoul et Hedy Ben Khalifa (Tunisie) et le militant mauritanien Ahmed Baba-Miské fondateur de la revue Afrique Asie<br />, ainsi que 2 journalistes libyens.
JCC 1976. Le premier Tanit d'Or tunisien, remporté par Les Ambassadeurs de Naceur Ktari.
JCC 1978. Hamadi Essid Directeur des JCC présente aux participants le programme du 2ème Colloque sur la production etla distribution dans les pays africains et arabes, prônant la création d'un marché commun panafricain de cinéma,<br /> avec Ferid Boughedir concepteur, organisateur, et rapporteur du Colloque.
Une amitié de longue durée nouée à Carthage entre deux des plus grands cinéastes d'Afrique Subsaharienne et du monde arabe : le Sénégalais Sembene Ousmane avec le cinéaste égyptien en exil Tawfik Saleh.
Le 'Doyen' Cheriaa fêté par ses amis aux JCC 1978. de g. à dr : le réalisateur malien Souleymane Cissé avec l'actrice de son film Baara, un critique ivoirien, l'historien et réalisateur sénégalais Paulin Soumanou Vieyra, l'écrivaine<br /> sénégalaise Annette M'baye d'Herneville, le réalisateur camerounais J.P.Dikongué-Pipa avec l'actrice de son film le prix de la liberté
JCC 1986 - Nouri Bouzid tenant l'affiche de son film l'Homme de cendres Tanit d'Or 86 : l'homme dont le talent artistique a fait de l'Audace une qualité du cinéma tunisien, et transformé les rapports avec son public.
Tahar Cheriaa avec son ami de toujours le fondateur du nouveau cinéma égyptien Youssef Chahine...
JCC 1994 - Moufida Tlatli à l'annonce du Tanit d'Or attribué à son film Les Silences du palais : produit comme les deux Tanit d'or tunisiens précédents l'Homme de Cendres en 1986 et Halfaouine en 1990,<br /> par Ahmed Bahaeddine Attia, considéré depuis comme le Producteur de l'âge d'or du cinéma tunisien.
JCC 2004 - Les JCC renouent avec le Star-system arabe. L'acteur égyptien Omar Sharif, grand nom du cinéma international à l'ouverture du Festival avec le Ministre tunisien de la culture Abdelbaki Hermassi.
JCC 2006 - Après l'Homme de cendre en 1986, le réalisateur tunisien Nouri Bouzid remporte son deuxième Tanit D'or pour Making Of.
JCC 2008 - La productrice tunisienne Dora Bouchoucha est la première femme à prendre la Direction des JCC. Ici avec le réalisateur éthiopien Haile Gerima, un monument du cinéma africain. Tanit d'Or 2008 pour Teza.
JCC 2010 - Le public attend les invités des JCC, qui vont défiler sur le 'Tapis Rouge', une nouveauté promotionnelle.
...Qui devient un 'Must' pour les sessions suivantes du festival...
...et qui investit alors le plus haut lieu culturel de la capitale, le Théatre de la Ville de Tunis.
Le cinéma anglophone d'Afrique du Sud au palmarès des JCC 2015. Le critique Nour Eddine Sail 'père' du cinéma marocain, Président du jury, et le Directeur de la session Ibrahim Letaief<br /> entourant le réalisateur sud-africain Ramadan Suleman.
JCC 2017 - Le nouveau Directeur du festival, Nejib Ayed, producteur et ancien Président de la Fédération Tunisienne des Ciné-Clubs (au centre cheveux blancs ) recevant des invités de la session sur le tapis rouge.
Les JCC et leur public : les projections s'étendent désormais à la rue, à d'autres villes du pays et même...aux prisons!
Le jury des JCC 2019, présidé par la critique romaine Deborah Young. A ses côtés le réalisateur et producteur tunisien Ridha Behi qui succédera à Nejib Ayed à la Direction du Festival.
1966 - Création des JCC
1966 - Création des JCC
Fondation de la FEPACI aux JCC 1970, les 'Cinéastes Sénégalais Associés' rencontrent leurs collègues maghrébins.
La dernière apparition face au public des JCC 2010. Lors de l'Hommage présenté par Férid Boughedir et Mohamed Challouf : <br />'La parole forte et vraie d'un grand homme cohérent avec lui-même jusqu'à son dernier souffle!'
1970 - Les JCC 1er pont culturel entre les cinéastes arabes et subsahariens : Tahar Cheriaa avec l'Egyptien Tewfik Saleh et l'Ivoirien Désiré Ecaré.
Hammadi Essid Directeur des JCC 1987, remettant unn prix au cinéaste marocain Ahmed El Maanouni en présence de la présidente du jury choisie par lui, la Star égyptienne Faten Hamama.
Le public des JCC : l’acquis d’une véritable cinéphilie de masse.
Le public des JCC : l’acquis d’une véritable cinéphilie de masse.

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