Jurys
Les Jurys
Jury long Métrage : 7 membres
Cinéaste et producteur, président du jury pour les longs métrages de la compétition officielle. Son long métrage Timbukutu sélectionné en compétition officielle du Festival de Cannes 2014 a été nommé pour l'Oscar du meilleur film étranger en 2015, ainsi que sept César en France la même année.
Né en 1965 à Djerissa (gouvernorat du Kef) Ecrivain, critique et universitaire Tunisien, professeur d'esthétique et de littérature. Ancien membre de l'Association Tunisienne de la critique cinématographique .Il est l'auteur de plusieurs publications dans le domaine culturel à l'échelle nationale et international.
Dyana Gayé cinéaste franco-sénégalaise née à Paris en 1975. Diplômée en études cinématographiques de l'Université de Paris VIII. Son premier film : "Une femme pour Souleymane" (CM 2000) obtient de nombreux prix. "Deweneti" (CM) reçoit le Prix du Jury au Festival de Clermont-Ferrand 2007 et fait partie des cinq films nommés aux Césars 2008 . En 2009, "Un transport en commun" (C.M.) comédie musicale fait partie des cinq films nommés aux César 2011.Son premier long-métrage "Des étoiles", reçoit le Grand prix du Jury et le prix du public au Festival Premiers Plans Angers 2014.
Essayiste et professeur d'université en Littérature Contemporaine, elle a écrit plusieurs textes sur Luigi Pirandello et sur Pasolini. Elle a débuté comme documentariste en 2004 avec le film I nostri 30 anni: Generazioni a confronto présenté dans le cadre du Torino Film Festival. En 2007, elle crée et dirige le "Salinadocfest", un festival international de documentaires narratifs en lien avec la Méditerranée.
Khaled Youssef est réalisateur et scénariste. Dans ses films, il a recours à l'improvisation et aux genres cinéma réaliste et cinéma vérité.
Il ne craint pas d'aborder les questions controversées, telles que le viol, la corruption politique ou l'homosexualité. Malgré les attaques contre lui pour immoralité, il continue à se battre contre tous les facteurs qu'il considère comme responsables de la régression de la société égyptienne.
Marc Irmer est un producteur actif depuis 15 ans tant dans le cinéma français qu’à l’international. De l’Inde au Liban, du Chili à la Hongrie, il couvre avec sa société Dolce Vita Films un large spectre de fictions et de documentaires, tous sortis en salles en France et présentés dans les plus prestigieux festivals à l’étranger.
Yamina Bachir-Chouikh est née en 1954 à Alger.En 1973 elle est rentrée au Centre national du Cinéma Algérien où elle a travaillé comme scripte et monteuse sur de nombreux films documentaires et de fiction. Elle a collaboré, entre autres, avec Abdelkader Lagda, Noureddine Mefti, Ahmed Rachedi et Mohamed Chouikh sur "La Citadelle" (1989) et "L'Arche du désert" (1997), ainsi que sur "Le Cri des hommes" de Okacha Touita (1991). En 2002, son long-métrage "Rachida" est sélectionné dans la section Un Certain Regard du Festival de Cannes.
Jury Première Œuvre : 5 membres
Directeur de la photographie né en 1974 de nationalité tunisienne et Française. Après l’obtention en 1997 d’un diplôme en prise de vue à l’Institut Maghrébin de Cinéma en Tunisie, Sofian El Fani effectue plusieurs stages à la prise
de vue notamment sur le film « THE ENGLISH PATIENT » de A. Minghella.
Il enchaîne ensuite de nombreuses productions comme assistant opérateur avant de passer derrière la caméra en 2001. Il cadre entre autres les derniers films d’Abdel Kechiche (VENUS NOIRE en 2009, LA GRAINE ET LE MULET en 2006 et L’ESQUIVE en 2002) et de Nouri Bouzid (POUPEES D’ARGILE, 2001) et participe à des productions comme HORS-LA-LOI (2009) de Rachid Bouchareb.
Sofian El Fani signe par la suite plusieurs films en tant que directeur de la photographie, LE FIL(2008) de Mehdi Ben
Attia, FIN DECEMBRE(2008) de Moez Kammoun, GARAGOUZ (2010) de Abdenour Zahzah, LE CHALLAT DE TUNIS (2014) de Kaouther Ben Hania, LA VIE D’ADELE (2013) de Abdellatif Kéchiche,TIMBUKTU (2014) de Abderrahmane Sissako pour lequel il obtient une récompense pour la meilleure image au Durban Film Festival, l’Esposimetro d’Oro à Teramo et le César de la meilleure photographie.
A commencé sa carrière par un travail à la fois artistique et managérial dans l’industrie audiovisuelle (Publicité, télévision et cinéma). Il a produit des court-métrages et films documentaires dans plusieurs pays de la Méditerranée, gagnant une expérience et réputation internationale. Par la suite il établit ses propres affaires dans les pays du Golfe en contribuant à construire un plus fort environnement de production locale.
Il a contribué activement à l’établissement du Screen Institute Beirut et il est fortement engagé à promouvoir et développer une culture arabe de l’image qui reflète les points de vue et intérêts des publics et communautés dans le monde Arabe et favoriser des collaborations et réseaux internationaux.
Paul a produit, entre autres, le film « Chatti ya dini » (Réalisé par Bahij Hojeij 2010). Le film a gagné plusieurs prix régionaux et internationaux (« Black Pearl Award » au Festival d’Abu Dhabi en 2010.
Paul a aussi produit le deuxième film du réalisateur Emirati Ali Mostapha « From A to B » sorti en salles l’hiver 2015 dans le monde arabe et doublé en italien pour une sortie en salles en Italie en 2016.
Paul possède une expérience comme expert en cinéma et mentor et il a participé à plusieurs ateliers de formation et festivals dans le monde arabe et en Europe.
Native de Tanger, elle obtient en 1974, sa licence en lettres modernes option Cinéma (Université de Paris ( VIII ).
Elle intègre l’Ecole Supérieure d’Etudes Cinématographiques à Paris ( 1975-1976) et a effectué plusieurs stages à Paris durant la période entre 1977-1978.
A réalisé en 1979 son premier documentaire, pour FR3 "Identité de femme " ;
Puis d’autres documentaires : Aminata Traoré une femme du Sahel et Casanayda
Auteur de plusieurs scénarios de longs-métrages :, "Poupées de roseaux" de Jillali Ferhati(1980), "Badis", , de Abderrahmane Tazi (1986), "A la recherche du mari de ma femme", , de Abderrahmane Tazi (1992) ;
A réalisé durant sa carrière, des longs-métrages, portant la voix des femmes : "Une Porte sur le ciel" , (1988), "Ruses de femmes" (1999), "Casablanca,Casablanca", (2002) "Juanita de Tanger" ( 2005) et « Frontieras » (2012/13)
A travaillé aussi pour la télévision et réalisé plusieurs téléfilms à grand succès : "Nia taghleb " ( 2000) , "El Boukma" , ( 2001) et "Secret de famille" , ( 2009).
Depuis 2013, elle travaille sur une série de documentaires sur les musiques et les danses amazighes qui seront finis en 2015
Philippe FAUCON est né en 1958 à Oujda (Maroc).
Ses 6 premiers films sont produits par Humbert BALSAN. Philippe FAUCON a réalisé 12 long-métrages, parmi lesquels "SAMIA" (2000), "LA TRAHISON" (2005), "LA DESINTEGRATION" (2011), "FATIMA" (2015, "QUINZAINE DES REALISATEURS" CANNES 2015).
En 2004, il crée avec Yasmina NINI-FAUCON ISTIQLAL FILMS, société productrice de son dernier film : "FATIMA".
De formation littéraire, Mireille Fanon-Mendès France, enseigne la littérature et la didactique générale. Elle a travaillé pour l'UNESCO et l'Assemblée nationale, spécifiquement sur les questions de droit international.
Elle est actuellement consultante dans un cabinet d'avocats. Elle est fondatrice et présidente de la Fondation Frantz Fanon.
Depuis 2011, elle est experte au sein du Groupe de travail des Nations Unies sur les personnes d'ascendance africaine, dans lequel elle a assumé la fonction de président de 2014 à 2016. En 2009, elle a reçu le prix International des Droits de l’Homme de la COJEP.
Jury Court Métrage et Carthage Ciné-promesse : 5 membres
Maïmouna N’Diaye est comédienne de théâtre et
de cinéma, et réalisatrice de films documentaires :
«Warbassanga» 1998 «Balan» 2004, «Recréatrales»
2003, «Amando» 2003 et «Tranches de vies» 2009.
Comme actrice, elle a tourné au Sénégal, au Guinée, au
Burkina Faso. Elle a eu le Prix de la meilleure actrice pour
son rôle dans L’oeil du cyclone JCC 2015.
Dramaturge et auteure, elle est considérée comme l’une des plus importantes scénaristes en Egypte.
Elle devient célèbre grâce à l’écriture de séries télévisées et remporte en 2013, le titre de meilleure scénariste pour les feuilletons « Une fille prénommé Dhat » et « Une vague libre ».
Sa dernière oeuvre s’intitule « Prison de femmes sous contrôle »
Malik Amara s’est formé à l’Ecole Nationale Supérieure Louis Lumière (Paris), à l’Université d’été de la FEMIS et à
l’Ecole des Arts et du Cinéma de Tunis.
Il a travaillé comme chef opérateur et réalisateur dans la publicité. Il a réalisé «L’ange de barbarie» (Doc) , et quatre courts métrages :
«La chaise», «Entre temps», «Le poisson noyé» et «Linge sale» (Tanit d’or JCC 2010).
Ludmila Cvikova a obtenu son diplôme à l’Université d’Amsterdam et à l’Université Comenius à Bratislava, ainsi qu’un diplôme européen pour la Gestion des Projets Culturels. De 1997 à 2011, elle a rempli la fonction de programmeur pour IFF Rotterdam.
De 2011 à 2014, elle a travaillé au Doha Film Institute, Qatar, en tant que Chef de Programmation des Films et Directeur Adjoint du Qumra IFF.
Curatrice indépendante (Where Do We Go Now: Arab Women Behind the Camera, EYE Film Institute, 2015) et conseillère.
Ramzi Choukair est comédien de théâtre et de cinéma etmetteur en scène. Après des études à l’Institut Supérieur d’Art Dramatique de Damas, il fait une carrière professionnelleen Syrie puis en France (Avignon, Aix-en Provence…).
Il a joué aussi bien dans des pièces de théâtre que dans des films :
«Arwad» (Compétition Officielle JCC 2014), «Napoléon Bonaparte» de Chawki Al Majri. En 2016, il a gagné le Prix-Helen Hayes Award du meilleur acteur pour le rôle de Jean Baptiste dans Salomé.
Jury Takmil : 5 membres
Christophe Leparc travaille depuis 1990 pour des festivals
de cinéma : il a notamment travaillé pour le Festival de Films
de Femmes de Créteil.
Il rejoint le Cinemed en 1994 où il travaille en tant que
programmateur et responsable de rétrospectives.
De 2000 à 2007, il travaille pour la Semaine de la critique
à Cannes, en tant que coordinateur. Il rejoint la Quinzaine
des Réalisateurs en 2007 au poste de Secrétaire
général.
En 2016, il est nommé Directeur du Cinemed, Festival du
Cinéma Méditerranéen de Montpellier.
Docteure, cinéaste indépendante, commissaire de film et professeur de cinéma. Depuis 2016, elle occupe le poste de chercheuse au département d’histoire de l’art à l’université Ludwig Maximillian. Elle a publié entre autre sa thèse de doctorat Le Cinéma Arabe : l’histoire et l’identité culturelle, AVC-Press, le Caire, 1998, et un livre le Cinéma Egyptien Populaire: Genre, Classe et Nation, AVC-Press 2007. Elle était également la chef d’étude au campus des documentaires Programme Mena 2011-2013 et Formatrice à la session des courts métrages Campus Berlinale Talent en 2016. De plus, elle a travaillé en tant que consultante pour la Biennale di Venezia ainsi qu’au Dubai Film Connection. Actuellement, elle est membre du comité de sélection du Labo des Scénaristes de Al- Rawi, l’Institut du Film de Doha et le Fond du Cinéma du Monde (Berlinale). Elle a réalisé plusieurs documentaires, notamment Mon Nom est Ali (2011) et Arij- Senteur de la Revolution (2014).
Après des études de cinéma à la San Francisco State
University, Khalil dirige de 1998 à 2002 le Festival du
Cinéma Arabe de San Francisco.
Il retourne au Maroc en 2003 pour réaliser son premier
long métrage "Le fil blanc" avant d’aller en 2008 produire
des films pour Al Jazeera Children au Qatar.
En 2011, il rejoint le Doha Film Institute où il gère depuis
le programme de subventions de films. Khalil est membre
fondateur de la Cinémathèque de Tanger.
Angèle Diabang est formée au Média Centre de Dakar, à
la Femis à Paris et à la Filmakademie en Allemagne.
Elle réalise son premier film en 2005 "Mon beau sourire"
montré dans plus d’une cinquantaine de festivals.
Suivent quatre autres documentaires dont "Congo, un
médecin pour sauver les femmes".
En 2006, elle crée Karoninka, société de production
sénégalaise avec laquelle elle produit une douzaine de
documentaires.
Elle finalise le développement de sa première fiction
adaptée du roman de Mariama Bâ, "Une si longue lettre".
Ikbal Zalila est Docteur en Arts option études
cinématographiques de l’Université Paris I Sorbonne.
Il enseigne depuis 2001 à l’ISAMM, Université de la
Manouba.
Entre 2008 et 2010, il a présidé l’Association Tunisienne
pour la Promotion de la Critique Cinématographique et a
été programmateur pour les Journées Cinématographiques
de Carthage. Il a été directeur artistique du même festival,
en 2014. Il est critique de cinéma et a fait partie de jurys de
la critique internationale à Venise, Istanbul et Rotterdam.
En 2015, il a fait partie du jury d’AFAC et du premier jury
de Dox Box.
Il est formateur dans les ateliers organisés par le Festival du
film documentaire d’Agadir.
Jury UGTT : 3 membres
Peintre, photographe et poète tunisien né en 1951 à Thala.
C’est un autodidacte accompli. Ses premières amours furent pour la poésie et l’écriture théâtrale. L’image prend chez lui toutes sortes de concrétisations, se déployant sur les planches de théâtre qui donnent corps à ses textes, se reflétant à travers son appareil photo ou prenant forme sur la toile à travers une palette onirique à souhait...
L’art n’a pas de frontière pour lui et sa seule demeure est l’émotion.
Il est l’auteur de plusieurs expositions aussi bien en Tunisie qu’à l’étranger.
Réalisateur, scénariste et enseignant tunisien né en 1952 à Sfax. Après des études primaires et secondaires a Sfax, il part a Paris pour étudier le cinéma .Il revient en Tunisie pour travailler comme assistant-réalisateur, puis réalisateur.
Au cours de sa carrière il tourne plusieurs films, longs, courts et documentaires, ainsi que des séries et des spots publicitaires pour les télévisions en Tunisie et en Algérie.
Il est l’auteur de trois longs métrages : La coupe (1986), La villa (2003) et Jeudi après-midi (2013).
Il a reçu plusieurs prix dont un Tanit d’or lors des JCC 1998 pour son court métrage « Le Festin ».
Artiste Visuel tunisien, né en 1969 à Tunis. Photographe, il touche aussi à la peinture et la sculpture.
Il expose ses photographies depuis 2007 en Tunisie et à l’étranger, et explore depuis 2013 d’autres formes artistiques qui mêlent photographie et sculpture.
Paysages, photomontages, détails d’architecture, rien n’échappe à sa quête d’exploration des multiples univers photographiques.
Journées Cinématographiques de Carthage
Boulevard du 9 Avril 1938, Tunis
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